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Les 12 façons de prendre des décisions difficiles plus facilement

Les 12 façons de prendre des décisions difficiles plus facilement

Marina Khidekel est directrice éditoriale. Dans sa carrière, faire des choix est son lot quotidien. Elle livre aujourd’hui les meilleurs conseils reçus et entendus pour faciliter votre processus de décision.

Certaines personnes arrivent à prendre une décision très rapidement et en toute confiance, mais ce n’est pas le cas de tout le monde. Il est nécessaire de prendre du temps pour réfléchir, sans pour autant être trop lent dans le processus de décision, notamment lorsque l’enjeu est important. Dans cet article, découvrez 12 conseils qui vous aideront à faire votre choix parmi les plus complexes.

 

Toute notre vie est structurée autour de la prise de décision. Chaque jour, nous faisons des choix relativement simples comme s’habiller pour aller au travail ou se lever de notre lit… En bref, ce qui ne nous cause pas trop de stress. Pourtant, des décisions plus importantes – celles qui pourraient changer nos vies ou avoir un impact sur celles de ceux que nous aimons – peuvent être une source d’anxiété importante.

Nous avons décidé de vous partager leurs meilleurs conseils pour prendre des décisions capitales lorsque vous êtes quelque peu perplexes. Voici quelques stratégies que vous pouvez utiliser dès que vous vous sentiez incertain.  

Faites confiance à votre instinct

Lorsque l’on est indécis ou bloqué face à un choix, c’est généralement parce que nous ne sommes pas en phase avec nous-même. Face au fatidique  "Je ne sais pas’" nous devons prendre le temps de nous écouter, fermez les yeux et écouter votre intuition. Respectez chacun de vos choix et remarquez la manière dont votre corps réagit. Si vous vous sentez tendu ou si vous sentez un creux dans l’estomac, c’est clairement votre corps qui vous dit “Non” face à cette décision. Si vous vous sentez plutôt enthousiaste et léger, alors votre corps vous dit “Oui” !

 

Méditez et écoutez votre sagesse intérieure

Chaque fois que j’ai une décision difficile à prendre, je m’adonne tout d’abord à un exercice de méditation. Je reste assis pendant 10 à 15 minutes sans interruption dans mon espace de méditation et je respire profondément, en utilisant mon souffle comme ancre pour rester dans le moment présent. Je demande conseil auprès de mon guide intérieur. Quand j’ai fini de méditer, je note toute la sagesse que j’ai reçue pendant ce temps. Après avoir pris ma décision, je me demande si c’est la réponse que je serais fier de dire à ma famille et à mes amis. Ensuite, je sais que j’ai pris la bonne décision!

 

Pensez à ce que votre décision vous fera ressentir après coup

Dans ma jeunesse, les décisions étaient beaucoup plus spontanées qu’elles ne le sont après 50 ans. Maintenant, je fais mes choix en fonction de mes valeurs. Comment me sentirai-je plus tard ou demain ? Si je ne travaille pas aujourd’hui  ou si je décide de faire une entorse à mon régime, comment vais-je me sentir plus tard ? Désormais, les décisions ne concernent pas seulement le présent, mais bien ce que je veux ressentir après les avoir prises.

 

Posez-vous deux questions importantes

Lorsque vous prenez des décisions difficiles, demander conseil à un ami, à un collègue ou à un mentor sage et objectif est essentiel, mais n’aide pas toujours. Quand j’hésite vraiment  et que je peine à trouver une solution, je me pose deux questions : quel choix veux-je faire et quel choix est-ce que je dois éviter de faire ? La première question marque l’intérêt personnel, auquel on ne peut faire confiance. La seconde révèle la voix de la conscience, qui est le guide le plus probable pour une boussole morale bien calibrée.

 

Éviter l’analyse paralysante

Avec l’expérience, prendre des décisions difficiles devient de plus en plus facile. Vous pouvez tirer parti de vos expériences et de celles d’autres personnes, mais en fin de compte, la décision finale ne dépend que de vous. Il existe un adage de l’Armée comme suit : « Dirigez, suivez ou éloignez-vous. » Faire confiance à ses instincts permet de prendre rapidement de très bonnes décisions dans la vie. Cette « paralysie de l’analyse » limitera vos possibilités, puisque vous craignez alors de faire le mauvais choix. Pesez vos options, suivez votre cœur, demandez conseil, mais décidez d’agir. Les décisions difficiles exigent du courage et de la confiance en soi. Évitez les « et si » qui risquent de vous enfoncer plus qu’autre chose. Personne n’avance sans faire d’erreur, alors lâchez-vous ! 

 

Reconnaissez les réactions de votre corps

Lorsque je prends des décisions difficiles, la première chose que je fais est de vider mon esprit et de me détendre afin que je puisse commencer mon processus de réflexion avec une ardoise claire et nette. Je laisse ce processus durer quelques minutes. Ensuite, je soulève la situation que je dois résoudre. Je commence à penser au scénario, aux avantages et aux inconvénients. Je crois en la manière dont je réagis physiquement aux informations qui me parviennent à l’esprit. J’essaie de baser mes décisions sur ce qui me fait me sentir bien et en fonction de la réaction de mon corps. Votre corps communique avec vous et peut vous montrer vos limites.

 

Voyez les choses sur le long terme

Lorsque je lutte pour prendre des décisions et que je passe trop de temps à me demander si je fais le bon choix, je me souviens d’une question que mon père m’a posée lorsque j’étais adolescente : « Est-ce que cela importera dans un an ? » Parfois, il est si facile de se laisser porter et de prendre des décisions bien plus effrayantes qu’elles ne le sont réellement. Me poser cette question me rappelle que les petites décisions n’ont pas vraiment d’importance et que je peux me permettre d’en prendre plus spontanément.

 

Visualiser le résultat

Lorsque vous choisissez entre deux chemins potentiels, examinez les deux et considérez si vous êtes prêts pour l’un des deux résultats possibles. Si la réponse est oui, vous êtes prêt à prendre votre décision. Si la réponse est non, vous avez besoin de plus de recherche et de contemplation avant de faire votre choix. Une de mes étudiantes envisageait de quitter son travail. Elle se sentait confiante que lorsqu’elle donnerait sa démission, on la supplierait de rester et de lui donner une augmentation de salaire. Je lui ai demandé : « Mais si ils acceptaient votre démission? Êtes-vous prête pour une recherche d’emploi et pour être au chômage pendant un temps indéterminé ? »  Elle a compris qu’elle n’était pas prête pour ce résultat potentiel et qu’elle n’était donc pas prête à quitter son emploi.

 

Utilisez la règle des 24 heures

Si je suis vraiment perplexe, j’applique la règle des 24 heures et me donne la permission de ne pas réfléchir à la question et de ne prendre aucune décision avant 24 heures. C’est incroyable le nombre de problèmes qui se résolvent d’eux-mêmes en 24 heures.

 

Prenez l’air

Promenez-vous dehors. Si vous pouvez sortir dans les bois, c’est encore mieux. L’air pur et les interactions avec la nature vous calmeront, vous permettront de respirer normalement et vous aideront éclaircir vos pensées et vider votre esprit. Lorsque nous avons de grandes décisions à prendre au travail, nous participons aux réunions Pedi : des réunions de marche de 15 minutes en extérieur. La combinaison d’exercices légers et de l’air frais aide à restaurer la fonction cognitive et stimule la créativité.

 

Faites une liste

Je suis un grand adepte des listes. Il est toujours préférable de dresser une liste des avantages et des inconvénients pour évaluer quelque chose. Vous pouvez améliorer votre estime de soi, votre productivité et votre responsabilité. Lorsque j’ai du mal à prendre une décision qui pourrait changer ma vie, je dresse toujours une liste au préalable.

 

Donnez-vous le temps dont vous avez besoin

En ce qui concerne les décisions importantes, je veille à me donner suffisamment de temps et d’espace pour réfléchir à mes options. Il peut être utile d’en parler avec des amis, des collègues ou des membres de sa famille. J’examine les avantages et les inconvénients des différentes options et je m’arrange pour choisir la meilleure option. Je dois aussi être à l’aise avec les conséquences du choix choisi, les bons comme les mauvais. Nous pouvons prendre des décisions en faisant appel à la logique, mais également en fonction de ce que nous estimons être juste. En cas de doute, je suis ce que mon cœur me dit de faire.

 

Inspiré de l’article 12 Ways To Make Hard Decisions Easier de Marina Khidekel pour Thrive Global.

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